1000 - Le debrief
Et voilà, la fin du rêve, samedi soir les portes se sont refermées sur 1 mois d'exposition fantastique. Pour ma part probablement ce que ce le Street-art a engendré de mieux comme exposition. J'ai eu la chance d'y aller 5 fois pour pouvoir tout (mais vraiment tout) voir. Ne rater aucune miette. J'étais au vernissage le premier soir (Cf Compte rendu) et j'y suis retourné avec un maximum de personnes de mon entourage pour faire découvrir Invader au plus de personnes possibles.
J'imagine que c'est encore trop tôt pour se rendre compte de la chance que nous avons eu de pouvoir avoir accès gratuitement à cette expo et de pouvoir profiter au plus près des oeuvres d'Invader.
La rareté et l'anonymat de l'artiste font que l'on prend d'autant plus de plaisir à fréquenter ce type de lieu insolite qu'est la Générale.
A ce propos j'ai lu quelques posts qui tournent sur le net à propos de l'organisation notamment le soir du vernissage. Certaines personnes se plaignent visiblement de la façon dont s'est déroulée l'expo.
Je signale à tous les rageux et tout les râleurs qu'Invader est un artiste mondialement connu et reconnu (Pour rappel, quasiment 80 villes envahies de part le monde). Il apparaissait donc évident que le vernissage, gratuit et sans invitation, soit pris d'assaut. Pour ma part, bien que surpris par le monde le soir du vernissage (Cf de nouveau le compte rendu), j'ai pris mon mal en patience et j'ai quand même fini par y rentré.
Ceux qui râlent ne sont visiblement pas des fans et n'ont à priori jamais fait une file d'attente pour un concert ou une expo. Déplorable. Je signale aussi que vu l'amplitude horaire d'ouverture il était tout à fait possible d'y retourner en journée, de ne pas faire de queue et de pouvoir profiter sans la foule du premier soir.
Bref, passons, je tiens donc à tirer un grand coup de chapeau à La Générale qui en terme d'organisation s'en est plutôt bien tiré, avec les contraintes inhérentes à ce genre de lieux et d'expositions et que l'accueil pour ma part y a toujours été impeccable.
Dorénavant la chasse se poursuit dans les rues de Paris et des autres villes du monde. En attendant la prochaine exposition à New York, Delhi ou Montpellier .... Qui sait ...
Rue Charles Monselet 75020
Alex - Le 06 Juillet 2011 12h00